Enfin, l’idée majeure du Tiers-Lieu est que dans chaque quartier il existe un lieu de travail pour tous, ouvert, sans chef et sans salaire, un lieu où on ne parle pas d’emploi, mais de travail, où l’on obtient ce statut désiré socialement de travailleur, comme un revenu universel. On peut y parler d’un accès au travail universel, qui échappe aux fluctuations incertaines de l’emploi, hors spéculation, dans des communs alors réactivés.